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le 20 juillet 2010 à 19:33

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Le comparatif de Moto Mag de juillet/août 2010 est dédié aux grosses GT, confrontant les BMW R 1200 RT, Kawasaki 1400 GTR et Yamaha FJR 1300 AS. Seule fille de la bande d’essayeurs parti en Écosse pour l’occasion durant 8 jours, Gaëlle nous a rapporté son journal de bord. En route !

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Jicre

le 5 février 2017 à 12:53

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Super ce compte rendu .. j’ai encore voyage à travers celui-ci . Et hô combines de souvenirs me reviennent grâce à lui .. Merci
http://jicre.wifeo.com/ecosse-.php

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Anonyme

le 21 avril 2012 à 16:14

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

bonjour, je découvre ce récis, merci de nous faire partager cette virée, moi qui ai fait la Corse de long en large , je pense faire de l’Écosse ma prochaine destination même si ce n’est pas le même climat, le paysage a l’air tout aussi magnifique. À défaut de voir Nessie, j’aurais peut-être la chance de rencontrer une motarde sympa en vfr pour boire un bon whisky... Safe journey my dear Gaëlle !

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Anonyme

le 14 août 2011 à 21:31

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Bonjour Gillou,

Plusieurs points commun entre nous car je suis également un "ADVenturier" Marseillais en partance pour l,Ecosse.
Je serais heureux de discuter de ce projet ensemble.
Ce serait sympa...

Olivier

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Anonyme

le 8 octobre 2010 à 13:00

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Bonjour Gaëlle,

Nous étions sur le même bateau entre ZEEBRUGGES et ROSITH (en 1200 GS ADVENTURE from Marseille).

Au débarquement, alors que tu partais vers l’Ouest sous les averses, de notre côté, nous avons mis le cap sur le Nord sans pluie mais dans un froid assez vif, pour faire une première étape en plein coeur des Highlands à "CRASK" ; c’est indiqué sur la carte comme un village alors qu’il n’y a finalement qu’une seule maison "THE CRASK INN" sans eau courante ni éléctricité qui fait tout à la fois : auberge, bar, ferme, gîte...posée au milieu de nulle part. Fantastique !

Notre route s’est poursuivie par la côte Nord pour redescendre la côte Ouest toujours sous un soleil glacé, la moto slalommant entre les magnifiques montagnes d’Ecosse, encore couvertes de neige.

Le but du Voyage étant la découverte des "meilleurs" whiskys d’Ecosse (ARDBEG, LAPHROAIG, LAGAVULIN), tous situés au sud de l’île d’ISLAY...
Et nous avons nous aussi parfois abusé des bonnes choses...

A bientôt peut-être chez des amis communs semble-t-il à Rouvres St Jean.

Gilles et Joëlle

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Anonyme

le 1er octobre 2010 à 20:22

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

L’écosse, la meilleure place de camping : il suffit de virer le moutons et de s’installer à sa place : c’est sec et chaud ! beeeeeeeeeeeeeeeee !

Arf ! les Scotish games !!! des fous anti british et pro french !!

Excellent l’Ecosse.

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Greg

le 30 juillet 2010 à 00:36

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Bonsoir Gaëlle,

"Leçon de linguistique" ?! Terme, un peu fort, que je n’aurais pas osé employer : je n’ai pas le niveau pour prétendre donner de telles leçons ! Mais c’est flatteur :) Notez quand même que j’exprime, aussi, un avis des plus subjectifs.

Amateur de la langue française et de langages, j’aime bien ce genre d’échanges. Et, j’oubliais de le dire, j’ai appris quelque chose : avant que Meldon le précise, je ne connaissais pas la prononciation écossaise de loch. Merci Meldon, donc !

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Anonyme

le 29 juillet 2010 à 22:50

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Vu que le whiskey est irlandais, non je ne m’en voyais pas prendre un pas plus que je ne me serais pris un bourbon. :-) Cela dit, je ne doute pas, encore une fois, que c’est moi qui fait une erreur. :D

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Anonyme

le 29 juillet 2010 à 18:22

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Bonjour Riderman,

Effectivement tu as eu beaucoup de chance de ne pas prendre une goutte de flotte lors de ton voyage écossais ! Je suis sûre que tu devais être un peu déçu non ? L’Ecosse sans la pluie ce n’est plus l’Ecosse non ? LOL ! Tu as bien choisi ton moment en tous cas.
Bonne route à toi !

Gaëlle GUEDON

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Anonyme

le 29 juillet 2010 à 18:12

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Alors là, moi je dis bravo Mr le Modérateur, ça m’en bouche un coin toute cette petite leçon linguistique...du coup, je vais reprendre une petite Guiness pour la peine... Santé !

Gaëlle GUEDON

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Greg

le 29 juillet 2010 à 16:25

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Non, non, ce n’est pas une question de vision ("vu comme ça"), mais de règles de français. Du coup, c’est vous qui choisissez de prendre des libertés avec la langue, ce qui n’est pas spécialement condamnable :) Et c’est aussi ainsi que les langues évoluent : en intégrant des mots étrangers, en les modifiant ou pas.
Au demeurant, cela fait des siècles que des autochtones adaptent les termes étrangers pour leur confort de lecture ou de prononciation.

Extrapolons un peu : jusqu’au XIXe siècle par exemple, le français était la langue diplomatique officielle dans les cours royales d’Europe, ce qui a contribué à l’intégration de mots étrangers dans le français et inversement. Croyez-vous vraiment que la prononciation, voire l’écriture, de tous les mots étaient la même qu’on fut en Espagne ou dans les Provinces Unies (la Hollande) ? Et encore, nous parlons là des langues utilisant, à quelques exceptions près, le même alphabet que nous et des prononciations qui nous sont à peu près familières. Quid, par exemple encore, des idéogrammes chinois et de leur prononciation ?! Et sans aller aussi loin, le grec, pourtant un des piliers originaires de notre langue, peut nous poser certains problèmes.

Pour ce qui est de "l’asymétrie des efforts", je pense qu’il s’agit plus d’une question d’individus que de peuples ou "d’autorités linguistiques". Ce qui n’empêche pas non plus qu’il existe sans aucun doute une certaine fainéantise en la matière. Ou pire, une forme d’intégrisme linguistique qui consiste à refuser d’intégrer "officiellement" un terme étranger pourtant employé couramment : comme la ridicule proposition, récemment, de remplacer "tuning" par "bolidage". La sensibilité de chacun joue aussi dans l’acceptation ou non des modifications de termes étrangers : j’aime bien par exemple le ticheurte recommandé par l’Académie française pour T-shirt !

Notons tout de même que les Anglo-saxons (puisque nous sommes en Écosse) non plus ne sont pas exempts de "torts" : ils prononcent Parisse et pas Paris, Orlïnhsse et non Orléans, la Nouvelle Orléans est devenue New Orleans, l’Irak s’écrit Iraq (et là, qui a "raison" ?), que le champagne se prononce champeigne, etc.

Sinon, je suppose que beaucoup de vos interlocuteurs francophones doivent vous faire répéter lorsque vous prononcez lorrh (qu’on n’a pas spécialement l’occasion de placer tous les jours :) ou bioule (que je prononce de la même manière, et que, ailleurs qu’à Moto Mag, on me fait souvent répéter), non ?! :)

Je viens par ailleurs de noter que vous avez fait une "faute" : vous avez écrit whisky et non whiskey ! lol
Mais moi, c’est un kahwa/caoua/kawa que je vais prendre :D

Bien cordialement.

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Anonyme

le 29 juillet 2010 à 14:48

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Vu comme ça ce n’est pas une faute effectivement. On remarquera toutefois qu’il y a une forte asymétrie entre les efforts que font les étrangers pour prononcer nos noms correctement quand nous nous préférons transformer leur nom (aussi bien phonétiquement qu’orthographiquement) pour notre confort. Je vais, pour ma part, persister dans mes lorrh, bioules (non je ne roule pas en buhel), biouhiques, maillami, etc. ;-)
Cordialement.
Mel

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Greg

le 28 juillet 2010 à 16:05

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Oui, comme on écrit et prononce Londres et pas London, Milan et pas Milano ou, pour rester sur Bach, on le prénomme Jean-Sébastien et non Johann Sebastian. Il existe en effet une prononciation ou une écriture française des termes étrangers, ce n’est pas une faute que de les utiliser :)

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Anonyme

le 28 juillet 2010 à 15:20

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Bravo, pour ton effort. Les français disent Loch comme ils disent Bach au lieu d’utiliser le son [ x ] comme la jota espagnole. Bon, je vais aller me boire un petit whisky pour la peine. :D

http://en.wikipedia.org/wiki/Wikipedia:IPA#X

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Anonyme

le 27 juillet 2010 à 17:11

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Whaouw !!

Plein de bon souvenirs cet article !!

J’ai eu la chance lors de mon séjour début juin de profiter d’un climat exceptionnel pour l’Ecosse :2000km avec le soleil, soleil et soleil !!! Même les Ecossais n’en revenaient pas ... De plus je vous conseille vivement de tracer au Tr..y vos balades car tout est fabuleusement accessible à moto et il ne faut pas avoir peur d’aller chercher les petites routes non-indiquées .

Encore plein de jolies balades :-)

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Anonyme

le 27 juillet 2010 à 11:12

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Bonjour Pierre-Yves,

Merci beaucoup pour tes encouragements, ça fait plaisir ! Bonne route à toi !

Gaëlle GUEDON

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Anonyme

le 25 juillet 2010 à 20:53

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Excellente idée de compléter bien agréablement l’article du journal par ce reportage photo rédigé. C’est à poursuivre .. par le même auteur !
Merci pour ce dépaysement bienvenu.

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Greg

le 23 juillet 2010 à 16:12

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Houlà, Jean-Charles, il vous en faut peu pour vous mettre en colère (même petite), je trouve. A noter que la bévue n’est pas le fait de Gaëlle, mais du "relecteur" (moi-même), qui a quand même eu un gros boulot avec cet article et dont la faute relève de l’écriture "automatique" : lancé dans ma phrase, j’ai pensé "enjambe" mais écrit "engendre". Je vous accorde qu’après relecture, ladite faute n’aurait pas du rester, mais l’erreur est humaine et le rédacteur n’est pas son meilleur relecteur :) Désolé.

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Anonyme

le 23 juillet 2010 à 15:10

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Eh bien je vois passer des motardes à moto mais je ne les vois jamais hors moto ? C’est curieux mais la vérité...

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Anonyme

le 23 juillet 2010 à 12:20

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Je t’en prie. Nous vivons dans une époque dite de la communication planétaire instantanée, mais certains oublient de regarder autour d’eux et perdent de vue des priorités essentielles.

De plus, on parle d’émancipation de la femme, mais jamais l’image de la femme n’a été autant maltraitée. Bimbos, voiles islamiques, "fashionistas", ou stars du X ; voilà à quoi les médias ont résumé la femme depuis 10 ans. Ce retour en arrière, associé à un machisme ambiant promulgué par des rappeurs ou des "beaux gosses" aussi décérébrés les uns que les autres, me désole. Je ne veux pas que le "milieu" motard succombe à ces idées obscurantistes.

Alors, vive les femmes à moto, une bonne baffe dans la g... des coincés du bulbe !

P’tite bise.

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Anonyme

le 23 juillet 2010 à 11:53

Virée en Ecosse à moto : journal de bord d’une essayeuse

Cher Pierrot, je crois que tout est dit ! Merci de ta sainte vision !

Pour la peine, je t’envoie des bises et te dis à bientôt ! lol

Gaëlle GUEDON

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