Afin de mieux mettre en lumière d’éventuelles infiltrations, nos essayeurs, Alex et David, portaient un sous-vêtement en coton kaki qui rend les tâches d’humidité particulièrement visibles.
De leur côté, chacune des poches contenait un morceau de papier absorbant pour vérifier si l’habituel contenu fragile (mobile, cigarettes...) doit être abrité à la moindre ondée.
Vestes d’hiver : le test d’étanchéité
Retrouvez dans cette vidéo le making-of de la séance d’arrosage des 13 vestes d’hiver comparées notre notre numéro de février (254).
La chaleur n’est pas tout. Lorsque le froid se fait cinglant, une bonne veste d’hiver doit certes retenir la chaleur, mais en plus opposer un barrage total face à la pluie.
Rien de plus désagréable en effet que de sentir de l’eau glacée couler dans le cou.
En général, la membrane étanche (Goretex, Reissa, Sympatex...) réalise 90 % du travail.
Elle est quelque fois suppléée par un traitement déperlant qui va empêcher le tissu extérieur de se gorger d’eau, limitant ainsi le refroidissement.
Hélas, si les gouttes parviennent à s’infiltrer dans des interstices, toute cette technicité est réduite à néant.
1,2,3... moteur ! C’est à l’aide d’un ventilateur utilisé dans le cinéma et d’un simple jet d’eau que nous avons reproduit l’équivalent d’une bonne averse.
10 min d’arrosage pour évaluer l’étanchéité des 13 vestes testées.