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Frédéric
le 3 mai 2010 à 17:32

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

Pas de casque moto à la Foire du Trône de Paris. Une décision prise unanimement par la préfecture et la mairie de Paris, ainsi que par les forains. Raison invoquée : les casques ont été utilisés comme projectiles lors de bagarre opposant les forces de l’ordre et des bandes de jeunes.

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Anonyme

le 5 mai 2010 à 09:16

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

jetez une piéce aux forces de l’ordre et peut etre qu’il interdirons le pognon à la foire du trone, maneges gratuits pour tout le monde ouaiiiii

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Anonyme

le 5 mai 2010 à 09:13

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

+ 1 fdbull
y a qu’a balancer nos porte-monaie aux flics et ils nous laisserons rentrer à la foire sans pognon mdrrr

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Anonyme

le 4 mai 2010 à 18:20

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

c’est vrai que l’Angleterre est un pays super sûr. Y’a qu’à voir le nombre de cellules terroristes qui y résident. Le nombre de victimes d’agressions y est 25% plus élevé qu’en France : http://www.ofce.sciences-po.fr/pdf/revue/7-84.pdf

http://www.nationmaster.com/graph/cri_tot_cri_percap-crime-total-crimes-per-capita

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Anonyme

le 4 mai 2010 à 11:59

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

Ballade toi en France en seine saint Denis, fait pareil à Croydon, et franchement tu pourra me dire dans lequelle tu est le plus en sécurité, ahhhhh le français toujours en retard dans tout mais premier pour péter plus haut que leurs culs ! (je plaisante bien sur, je suis a moitié français !)

Personnellement à London je me suis jamais fait cassé ma moto (je precise que j’habite à streatham quartier qui n’est pas le plus tranquille) , à Paris je l’ai retrouver 3 fois par terre, dont 1 fois dans le 16eme avec le carénage éclaté. (et la police n’a rien fait malgré les 3 plaintes)

alors franchement venir me dire qu’en France ce sera mieux sans camera me fait rigolé.

ce que vous ne comprenez pas c’est que la CCTV empêche les actes gratuit de vandalisme, si courant en France !
c’est juste un +

et puis dire : "4% des affaires sont élucidées grâce à la surveillance qui a coûté une fortune."

peut être mais c’est déjà 4% ! et au moins cet argent n’ira pas dans les poches de votre sarkozi.

ce qui est drôle dans cet histoire c’est que vous râlez a cause des casques (ce qui est louable), vous refusez la CCTV, mais en même temps vous avez l’air de trouver normal qu’il y ait des guerre de gang dans une fêtes foraines, pour moins que sa, chez nous l’opinion aurait été très en colère !

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Anonyme

le 4 mai 2010 à 11:00

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

tout a fait d’accord avec albert,dans une societee ou l’argent predomine,ne nous battons pas pour le leurs donner ;il ne veulent pas de nous,tant mieux !ils ironts se plaindre ailleurs du manque a gagner,mis sur le dos d’une crise,plutot que sur leurs betises ! la crise,c’est qu’il va falloir que vous vous passiez de choses dont vos parents n’avait pas besoin !coluche

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Anonyme

le 4 mai 2010 à 09:01

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

oui,oui
aujourd’hui nous sommes jeunes de plus en plus longtemps (l’âge de la retraite reculant...)

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Anonyme

le 4 mai 2010 à 08:36

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

wouai, sauf que dans les stades ou les salles de concert un peu chaud, il n’y a pas QUE les casques qui sont interdit Mais tout objet susceptible d’etre un projectile (manche de drapeaux rigide, bouteille d’eau...etc)alors que là SEULS les casques peuvent représenter un danger ?????
y nous prendraient pas pour des cons par hasard ??

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Anonyme

le 3 mai 2010 à 23:56

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

« Raison invoquée : les casques ont été utilisés comme projectiles lors de bagarre opposant les forces de l’ordre et des bandes de jeunes. »

1- j’ai 57 ans et vous croyez que je fais partie d’une bande de "jeunes" ???

2- vous croyez que je vais balancer mon casque qui m’a couté 500€ soit un quart de mon salaire mensuel ???

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Anonyme

le 3 mai 2010 à 23:50

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

Et alors ? on ne veut pas de vous à cause du casque ? allez ailleurs ! ils ne veulent pas de votre argent, n’allez pas vous battre pour le leur donner !

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Anonyme

le 3 mai 2010 à 21:31

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

Les criminologues britanniques disent eux mêmes = 4% des affaires sont élucidées grâce à la surveillance qui a coûté une fortune.
et de rajouter que cette même somme investie dans n’importe quoi d’autre (prévention, rondes …) aurait fait mieux ...

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Anonyme

le 3 mai 2010 à 20:21

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

Un peu long à lire, mais très instructif. Tiré du Monde Diplomatique d’Octobre 2008. Pour arrêter de fantasmer sur les bienfaits de nos camérad de quartier...

Au Royaume-Uni, un individu peut être filmé par les caméras de vidéosurveillance jusqu’à trois cents fois par jour. Partout célébré, souvent imité, ce « modèle » de lutte contre la délinquance bat néanmoins de l’aile. De l’aveu même de ses promoteurs, il serait un « échec complet ». Par Noé Le Blanc

Pour améliorer de façon significative la sécurité quotidienne, l’efficacité de la vidéosurveillance n’est plus à démontrer. « Des expériences étrangères l’ont largement prouvé, notamment au Royaume-Uni. » C’est ainsi que Mme Michèle Alliot-Marie, ministre française de l’intérieur, justifiait son intention de faire passer le nombre de caméras de surveillance sur la voie publique d’un peu plus de vingt mille à soixante mille (1).

Avec plus de quatre millions de caméras, le Royaume-Uni constitue la référence obligée des responsables politiques prêts à bondir sur le tremplin de l’insécurité. Mais il offre également un terrain d’enquête privilégié aux chercheurs, dont les travaux s’acharnent à montrer l’inefficacité de la vidéosurveillance pour lutter contre la criminalité. Publié en février 2005 par le ministère de l’intérieur britannique (Home Office), « Assessing the impact of CCTV », le plus exhaustif des rapports consacrés à la question, porte à la vidéosurveillance un coup mortel (2). Selon cette étude, la faiblesse du dispositif tient à trois éléments : sa mise en œuvre technique, la démesure des objectifs assignés à cette technologie et... le facteur humain.

Trop confiantes en cette nouvelle technologie et soucieuses de profiter des larges subventions du gouvernement, les municipalités ont souvent conçu leurs schémas d’installation dans la précipitation. Quand la répartition des caméras n’est pas abandonnée aux soins des techniciens de l’entreprise qui les fournit, elle se fonde sur des statistiques sur la criminalité incomplètes ou trop générales ; d’où le positionnement de certaines caméras dans des zones où elles se révèlent à peu près inutiles.

D’autres voient leur champ de vision obstrué par les feuilles des arbres, ou par du mobilier urbain ; et, pour une moitié des systèmes étudiés, les images enregistrées de nuit sont inutilisables, soit parce qu’elles sont trop sombres, soit au contraire parce que les caméras sont éblouies.

Au-delà des questions techniques, les objectifs des réseaux de surveillance sont à la fois mal définis (« réduire la criminalité ») et trop ambitieux, ce qui empêche de réfléchir aux actes spécifiques que les caméras sont censées prévenir. Le criminologue Jason Ditton commentait ainsi l’inefficacité du dispositif installé dans le centre-ville de Glasgow : « A mon avis, il y avait eu avant leur installation un tel battage autour des caméras, présentées comme un remède-miracle avant même d’avoir été branchées, que leurs chances de succès véritables étaient nulles (3). » On attend en effet de la vidéosurveillance qu’elle mette fin aux vols, aux cambriolages, aux violences contre les personnes, aux délits contre les véhicules, au vandalisme, au trafic de stupéfiants, aux jets d’ordure ou aux troubles de l’ordre public. Mais ces délits ne sont ni commis par les mêmes personnes, ni pour les mêmes raisons, ni dans les mêmes circonstances, ce qui interdit l’adoption d’une solution unique, fût-elle présentée comme « tout en un ».

Les caméras ont d’autant plus de mal à remplir leur mission que l’aspect humain des systèmes de vidéosurveillance est sans doute le plus négligé. C’est pourtant dans les salles de contrôle que se joue véritablement leur fonctionnement. Or non seulement le nombre d’écrans dans les salles ne correspond pas au nombre de caméras en opération (4), ce qui revient à dire qu’à tout moment les images d’une majorité des caméras ne sont jamais affichées, mais il est également illusoire de croire que les opérateurs puissent surveiller correctement plus d’un écran à la fois. En conséquence, la plupart des délits échappent tout simplement à leur vigilance, comme en témoigne l’un d’eux : « Je ne peux pas vous dire combien de choses on a ratées pendant qu’on ne regardait pas les autres écrans. Des effractions, des vols de voiture, des agressions se sont passés pendant qu’on visionnait les autres caméras... C’est vraiment énervant (5). »

D’autre part, les opérateurs ne sont pas des professionnels du maintien de l’ordre. Alors même que les codes de conduite précisent que seules doivent faire l’objet d’un suivi particulier les personnes qui manifestent une « attitude suspecte », cette identification reste la part la plus déficiente de la formation. Dans ces conditions, il n’est guère surprenant que le visionnage des images se fasse très largement en fonction des préjugés sur le caractère a priori criminel de certaines attitudes ou de certaines populations. L’une des rares études sur le sujet révèle ainsi que 86 % des individus surveillés ont moins de 30 ans, que 93 % sont de sexe masculin, et que les individus noirs ont deux fois plus de chances de faire l’objet d’une attention particulière que les individus blancs (6).

Le manque de formation des opérateurs pèse également sur leurs relations avec la police, qui met souvent en doute leur professionnalisme et l’exactitude de leurs récits : à peine un quart des salles de contrôle examinées par les auteurs de « Assessing the impact of CCTV » entretenaient des relations cordiales avec les forces de l’ordre. Les opérateurs se voient parfois sévèrement reprocher leur utilisation des lignes directes, et conseiller d’appeler les numéros publics d’urgence (comme le 17).

Enfin, regarder les écrans de contrôle se révèle extrêmement ennuyeux et répétitif. Dans les zones résidentielles, Martin Gill et Angela Spriggs ont dénombré une moyenne de six incidents toutes les quarante-huit heures de surveillance (7). Résultat, les opérateurs luttent d’abord contre l’ennui : pauses café/toilettes fréquentes, lecture de magazines, mots croisés, somnolence, et même... voyeurisme, qui représente 15 % du temps de visionnage consacré à surveiller des femmes (8)...

Tous ces facteurs amènent à une « rentabilité » extrêmement faible des réseaux de vidéosurveillance en termes d’arrestations par caméra. Après avoir passé cinq cent quatre-vingt-douze heures en compagnie d’opérateurs qui surveillaient trois centres-villes, les sociologues Gary Armstrong et Clive Norris ont ainsi constaté que, sur neuf cents opérations de surveillance ciblées, les services de police n’étaient intervenus que quarante-cinq fois, pour un total de douze arrestations (9).

Jason Ditton et Emma Short indiquent quant à eux qu’en 1995 seules deux cent quatre-vingt-dix arrestations furent liées de près ou de loin aux trente-deux caméras installées à Glasgow. Rien ne permet d’établir précisément si ces arrestations auraient eu lieu ou non en l’absence de caméras mais, même en ce cas, le ratio serait d’une arrestation par caméra toutes les neuf cent soixante-sept heures de surveillance, soit une arrestation tous les quarante jours. Autrement dit, durant leur première année de fonctionnement, les caméras ont « vu » moins de 5 % des incidents ayant débouché sur une arrestation dans la zone qu’elles surveillaient (10).

Souvent présentée comme la panacée en matière de lutte contre la délinquance, la vidéosurveillance est un système dont le mode opératoire reste très problématique. « Une difficulté majeure est qu’il existe une confusion, voire une contradiction, concernant ce qu’on attend de la vidéosurveillance en ville. D’un côté, la capacité des caméras d’être les témoins d’incidents criminels devrait logiquement augmenter le nombre de crimes et délits ainsi enregistrés. De l’autre, la simple présence des caméras devrait dissuader les contrevenants d’agir, et donc diminuer le nombre de crimes et délits enregistrés (11). »

La preuve du « succès » de la vidéosurveillance peut ainsi être une baisse des chiffres de la délinquance ou... une hausse de ces chiffres, selon que l’on retient le critère de la dissuasion ou celui de la détection. La contradiction entre ces deux logiques pose de réels problèmes de mise en place des systèmes.

Privilégier la dissuasion suppose de signaler au maximum la présence des caméras dans les zones où elles sont installées (ce qui constitue souvent une obligation légale). Or cela permet aux contrevenants potentiels d’adapter leurs méfaits en conséquence, notamment par des déplacements géographiques, tactiques ou temporels. De surcroît, en l’absence d’une poursuite effective des délits, le pouvoir d’intimidation des caméras diminue rapidement.

A l’inverse, l’utilisation de la vidéosurveillance comme instrument de détection ou d’enregistrement suppose que les délits aient lieu pour opérer, et donc que les contrevenants ignorent la présence des caméras. Ce qui ouvre la porte à des critiques résumées ici par ce courrier d’un lecteur du Daily Telegraph (17 janvier 2008) : « Comment peut-on se sentir rassuré par la présence de caméras ? Tout ce qu’elle veut dire, c’est que quelqu’un pourra vous regarder en train de vous faire agresser, tabasser, violer ou assassiner. »

La lutte contre le flagrant délit implique en effet un visionnage maximal des images en temps réel ; une communication fluide entre les opérateurs et la police ; et une excellente réactivité des services de police. Mais, en pratique, la détection des délits en temps réel est rare pour des raisons techniques et de formation des opérateurs ; les relations entre opérateurs et policiers dépendent d’éléments parfaitement subjectifs, vu le flou institutionnel qui les entoure ; et la réactivité des forces de l’ordre est fonction de leurs priorités et de leur budget, que la vidéosurveillance... ampute (12).

Si on vise une utilisation rétrospective des images enregistrées, se pose alors le problème du stockage. Faute de place, la plupart des systèmes conservent moins de 5 % des images filmées, ce qui rend difficile d’obtenir des clichés judiciairement exploitables.

L’ensemble de ces facteurs explique peut-être que les études menées au Royaume-Uni ne trouvent aucune corrélation entre le taux d’élucidation des délits et le nombre de caméras installées. Une conclusion intéressante dans un pays qui compte une caméra pour quatorze habitants.

Pour autant, la société orwellienne ne menace pas encore. Comme le soulignent Gary Armstrong et Clive Norris, « ceux qui promeuvent la vidéosurveillance comme la panacée qui résoudra tous les problèmes de délinquance et de troubles à l’ordre public, comme ceux qui voient se profiler le spectre d’une société de surveillance cauchemardesque [dystopian surveillance state], partagent une croyance ingénue dans le pouvoir de la technologie, que celui-ci soit bénéfique ou maléfique (13) ». Au-delà des questions éthiques que soulève ce débat, il existe une certitude : année après année, la vidéosurveillance provoque, en termes de lutte contre la criminalité, un vaste gaspillage d’argent public. Ou, pour reprendre les termes de M. Mick Neville, responsable du bureau des images, identifications et détections visuelles (Viido) de la police métropolitaine de Londres (Scotland Yard) : « Un fiasco complet (14) »... Noé Le Blanc.

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Anonyme

le 3 mai 2010 à 20:20

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

Mais cette vidéo surveillance n’ a pas empêché certains attentats à Londres.
Plus récemment aux US, c’est la vigilance d’ êtres humains et non la vidéo surveillance qui a permis de repérer un véhicule piégé et de le signaler à un policier.
Ca ne sert pas à grand chose de multiplier les caméras et les informations si l’on n’est pas capable des les exploiter rapidement et si on ne dispose pas sur le terrain des moyens humains pour intervenir.

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Anonyme

le 3 mai 2010 à 19:51

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

Peut être que la criminalité à baissée sous les caméras, elle a été déplacée là ou il n’y a pas de machine à filmer.
Faudrait pas prendre les délinquants pour des "cons" quand même.
Quand au résultat final, sur Wilkipedia les avis sont partagés, voir comprendre même que ces machines ne remplaceront jamais la présence humaine : "Plusieurs rapports, notamment aux États-Unis et au Royaume-Uni, esquissent un bilan critique de la vidéo-surveillance. Les représentants de Scotland Yard à la Security Document World Conference (avril 2008) parlent ainsi de "utter fiasco" (échec complet).

Alors une impression n’est pas forcément la réalité.

Hé pis, faudra pas mettre des vêtements renforcés, car les tonfas vont être inefficaces ...

On n’en sort plus, des l’instant ou on veut tuer le chien.

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Anonyme

le 3 mai 2010 à 19:13

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

"Cela prouve aussi que la vidéosurveillance, si plébiscitée et dont le site est équipé, voire suréquipé, ne sert strictement à rien. Là, on rejoint les syndicats de police qui réclament plus de moyens humains. »

Moi qui vie a Londre je peut vous dire que la CCTV à fait baisser le taux de criminalité, c’est peut être juste qu’en france, il n’y a personne derrière

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Anonyme

le 3 mai 2010 à 19:08

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

casque interdit pas de consigne a dispo on a fait les jardins du chateau de versaille c gratuit en plus entre la repression sur les routes on mange du motard a toutes les sauces pauvre france

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Anonyme

le 3 mai 2010 à 18:50

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

"J’invite tous les motards à venir bloquer les accès à la foire du Trône tous les soirs à 21h00 jusqu’a ce qu’une consigne gratuite soit mise à notre disposition..."
voila ce que j’aimerai lire, mais bon, je rêve surement.

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Anonyme

le 3 mai 2010 à 18:41

Foire du Trône sans les casques : précision de la préfecture de Paris

jamais à court d’arguments bidons à la pref !

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