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Anonyme
le 21 mai 2009 à 02:20

Vie des gens : "Un dimanche de moto-cross au Pérou"

Dans la cordillère des Andes, la moto reste encore cantonnée au rang de véhicule purement utilitaire. Un habitant sur deux vit dans la pauvreté, mais de rares privilégiés ont découvert le moto-cross et commencent à organiser des compétitions, pour le plus grand plaisir de tous. Ce n’est pas encore le Pérou, mais ça pourrait bien le devenir !

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Anonyme

le 27 mai 2009 à 11:55

Vie des gens : "Un dimanche de moto-cross au Pérou"

Tu as raison : il ne faut absolument pas se réjouir de voir les pauvres accéder à de meilleures conditions de vie, et par là même de découvrir les loisirs. Surtout s’ils sont motorisés : horreur, malheur !

Non mais, qu’est-ce qu’il ne faut pas lire ! Que d’inepties et de propos réactionnaires ne tient-on pas au nom de l’écologie ! Comme c’est facile de regretter que les Péruviens s’achètent des motos alors que la planète est en danger...

Parce que toi, si tu traines sur ce site, en fait, ben tu te déplaces exclusivement à vélo et jamais pour ton seul plaisir. Tu te chauffes intégralement au bois et il ne fait jamais plus de 16° en hiver dans ta chambre. Tu t’éclaires aussi à la bougie, ne mange que des fruits de saison non-traités et de provenance locale, peu ou pas de viande. Et puis tu utilises des toilettes sèches, naturellement, étant entendu que tirer la chasse revient à gaspiller de l’eau potable. Et puis... et puis...

Et puis y’en a marre de ces propos bien-pensants et moralisateurs à tout bout de champ ! L’écologie est un problème sérieux que personne ne résoudra à s’attaquant à des symboles. Or le tout-terrain en est un, et ne t’en déplaise : il n’est pas responsable d’un milliardième des problèmes de la planète.

À bon entendeur.

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Pascal

le 27 mai 2009 à 10:42

Vie des gens : "Un dimanche de moto-cross au Pérou"

Un témoignage intéressant d’un point de vue purement etnographique mais...
Mais je pense qu’il ne faut pas se réjouir et considérer comme un progrès que des gens qui jusqu’ici en étaient à peu près préservés « accèdent » à ce type de loisirs d’autant plus polluants que totalement inutiles et dangereux pour le développement durable de la planète.

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