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le 8 avril 2004 à 00:00 |
24H du Mans : L’envers du décorEn marge des 24H du Mans, l’ambiance sur les campings est encore montée d’un cran cette année dans certains campings. Au milieu des milliers de motards, dans leur immense majorité passionnés par la course et la moto, se sont glissés quelques dizaines de casseurs qui gachent la fête. Ces derniers viennent avec une panoplie inquiétante : Pitbulls (en toute liberté et sans muselière) et pilules en tout genre. Sur l’aire de camping « bleu », certaines motos ont été poussées au bout de leurs possibilités après des burns à n’en plus finir. D’autres sont passées par la case « feu de bois ». D’où vient cette rage destructrice ? Malgré leur interdiction cette année, les moteurs montés sur palettes étaient bel et bien présents dans les parkings autour du circuit. Ils ont gagné en puissance et en volume : le but est de faire de « jolies flammes à la sortie du pot ». Dès à présent, de plus en plus de motards préfèrent quand c’est possible camper en dehors des « aires d’accueil ». A l’exemple d’Alain et ses amis, venus de la Mayenne, qui campent chez une amie à proximité du circuit. Photos Olivier Leveque correspondant 61 Commentaires : Thierry Leconte |
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Armel le 26 avril 2016 à 20:24 |
24H du Mans : L’envers du décorOuaip Fred, mais en 12ans les choses ont pas changées..enfin si.. Maintenant Pas mal de jeunes motards prétendent que c’est ca l’ambiance motard.. C’est désespérant. |
FRED le 26 avril 2016 à 13:12 |
24H du Mans : L’envers du décorouah, déterrer un article qui date d’il y a 12 ans, je crois qu’on doit frôler le record du monde... |
dog17 le 26 avril 2016 à 11:04 |
24H du Mans : L’envers du décorNous n’étions pas venus au Mans, mon épouse et moi depuis 1988...quelle désolation de voir des abrutis casser des motos et venir uniquement pour faire du bruit, se bourrer la gueule, fumer je ne sais quoi et risquer de foutre le feu aux toiles de tentes...En plus, la plupart n’ont pas de permis moto et n’ont pas mis un pied sur le circuit. |