Moto Morini 1200 Corsaro Avio

La sortie de ce genre de moto est vraiment un "non événemment". Tous les constructeurs (Voxan compris) proposent ce genre de moto prfaitement inadaptée à la circualation d’aujourd’hui et plus encore celle de demain. L’humanité s’approche à grands pas d’une crise grave sans précédent, pollution, flambée du prix des carburants, surpopulation, famine, et tout ce que les constructeurs occidentaux savent produire ce sont des gros roadsters energivores, sur-polluants, trop lourds, trop chers... des jouets pour gosses gâtés et trop riches...

je n’adhére pas, Si c’est juste pour prendre une petite part du "gâteau roadster" Mr Morini retournez dans l’oubli duquel il était inutile de sortir !!

Si Mr Morini parvient à maitriser la consomation de carburant et sort un modèle plus polyvalent genre Tiger, TDM, GS, Ulysses, Versys, Tre-K, DL, Stelvio... en contenant son prix, il serait probable qu’elle soit sur les rang lors du choix de mon prochain changement de monture...

Très bel article et surtout très belles photos !
Les possesseurs de Moto Morini ne peuvent que confirmer les sensations que vous avez eu en essayant l"Avion".
Courrez l’essayer chez un des concessionnaires : liste. Renseignez vous sur le forum Moto Morini France.

Au rédacteur de l’article papier du Moto Mag : Il est normal que le trip 1 se remette seul à 0. C’est une fonctionnalité prévue. Elle est automatique au bout de 2 heures sans contact. La clé 6 pans sous la selle passager sert à dévisser la selle conducteur. On y trouve alors une vrai trousse à outils et la batterie.

C’est vrai qu’on ne s’en lasse pas de ce moteur !!! Mais il n’y a pas que des sensations. Dans l’absolu, ça pousse aussi très fort. Je suis surpris des temps annoncés dans l’article de Motomag. Peut-être un moteur pas completement libéré. Il m’a fallu 7 à 8000 km pour sentir le mien se mettre à respirer completement, c’est certainement du au montage très serré avec le bloc moteur en un seul morceau.
Un détail, c’est normal que le trip partiel 1 se remette à zéro après coupure de contact. Le 2 lui ne doit pas bouger...

C’est un vrai bonheur de voir une marque aussi passionnelle et authentique que Moto Morini revenir, et avec quel panache, sur le devant de la scène motocycliste.

L’épopée glorieuse des monos de légende pilotés en GP par Tarquinio Provini et Giacomo Agostini dans les années 60, le souvenir unique des roulages exaltants effectués au guidon de ma 350 S il y a une trentaine d’années sur les routes de France, et le bonheur enfin de voir un esprit constructeur capable de résister aux sirènes (médiocres) du marketing moderne qui ont fait perdre leur âme à bien des marques réinvestir ainsi la sphère moto, tout cela m’enchante et m’empêche de (trop) verser dans la nostalgie.

Mille merci aux passionnés de l’usine bolognaise et en particulier à l’ingénieur Lambertini, divin sorcier motoriste.
Forza Morini, quant aux motards français, osez la différence du bonheur et de plaisir sur 2 roues que peuvent procurer les machines frappées de l’aigle transalpin !