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Didier
le 9 septembre 2011 à 00:56

Grandeur et décadence du moteur à piston rotatif

Plus simple et plus léger qu’un quatre-temps conventionnel, le moteur à piston rotatif semblait promu à un bel avenir. Avant de se voir finalement condamné par, entre autres tares congénitales, une consommation en carburant élevée et une fiabilité défaillante.

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Anonyme

le 24 octobre 2011 à 19:46

Grandeur et décadence du moteur à piston rotatif

J’arrive pas a croire que Mazda délaisse le moteur rotatif après tant d’année et de progrès. Oui ce moteur à quelque défaults mais nous devrions apprendre à l’améliorer. Les premiers moteurs a piston avaient probablement eux aussi des défaults !

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Anonyme

le 30 septembre 2011 à 21:00

Grandeur et décadence du moteur à piston rotatif

La plupart des concepts de fonctionnement des moteurs et de leurs accessoires (dohc turbo etc..)ont été définis théoriquement (thermodynamique) puis conceptualisés mécaniquement avant 1910 il y a plus de cent ans.
Par la suite,il y a eu une lente amélioration de la fabrication , des materiaux et de la mise au point. On commercialise aujourd’hui des produits parfois imaginés il y a très longtemps.Les ingenieurs ont peu de préjugés, ils ont choisi le meilleur rapport qualité prix des materiaux et de la main d’oeuvre avec les carburant disponibles et avec les machines outils du moment. Un seul parametre change et les choix changent.
Il n’y a pas de malédiction du rotatif ou de la turbine ou du moteur sterling, si on savait faire mieux et plus economique que le piston, il aurait disparu, ce qui arrivera sans doute un jour. En attendant on peut saluer l’ingeniosité, l’echec commercial est affaire de contingence economiques helas incontournables.

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Anonyme

le 30 septembre 2011 à 19:51

Grandeur et décadence du moteur à piston rotatif

Bonjour,

La Norton F1 n’est pas la dernière moto ainsi équipée car la
NRV588 lui a succedé.
170cv pour 130Kg avec le birotor de 588cc, cadre Spondor, équipé d’un système d’injection électronique avec choix de plusieurs cartographies ainsi que d’une commande électronique des papillons d’admission (ride-by-wire) couplée à un contrôle électronique de traction.
Bientôt en Moto2 ?

Cordialement.

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Anonyme

le 30 septembre 2011 à 09:18

Grandeur et décadence du moteur à piston rotatif

Sauf erreur de ma part, l’homologation en compétition d’un véhicule à moteur rotatif imposait de se positionner dans une catégorie de cylindrée double à celle dudit moteur. Autrement dit, une 125 cc ’rotative’ devait courir en 250...
Un point qui a très certainement refroidi les investissements en recherche sur ce type de moteur

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Anonyme

le 15 septembre 2011 à 10:49

Grandeur et décadence du moteur à piston rotatif

Bonjour,

Il y a encore des personnes qui réfléchissent encore à une alternative aux moteurs à pistons classiques et qui essaient de concilier les avantages de chaque développement déjà effectué.
Malheureusement, les grands constructeurs, peut-être pour ne pas bouleverser les consommateurs ou bien pour faire plaisir aux intégristes écolos, ne développement plus de solution innovante sur le moteur à explosion mais préfèrent ajouter une artillerie de moteur-génératrice électrique...

Je propose de jeter un œil cet étude qui concilie moteur à piston et moteur rotatif...
http://ebmoteur.chez.com/tornade1.htm

Pour information, le moteur samois du même concepteur fonctionne et participe à l’éco marathon Shell.

Grand V
Séb

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Anonyme

le 14 septembre 2011 à 15:33

Grandeur et décadence du moteur à piston rotatif

Ce qui a malheureusement plombé la carrière du Wankel c’est qu’il est sorti juste avant la 1ère crise pétrolière. Période peu favorable à un moteur grourmand en carburant.
On peut dire aussi qu’il a souffert d’un manque de fiabilité (faible durée de vie), de problèmes d’étanchéité au niveau des segments.
On note aussi que les solutions aux problèmes des segments ont été trouvées peu aprés que les constrcuteuurs, à l’exception de Mazda aient décidé d’abandonner le Wankel.
Les 4 constructeurs de moto japonais ont eu leurs protos de bécanes à moteur Wankel, seul Suzuki est allé jusqu’ à la série, ce qui a d’ailleurs bien failli lui être fatal.

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Anonyme

le 12 septembre 2011 à 21:43

Grandeur et décadence du moteur à piston rotatif

Pas de couple en bas, moteur linéaire... c’est ce qu’on dit.
Mamie Suzi avec son FCR de 41 avait plus que gagné en caractère et en plage d’utilisation.
Ce qui péchait à mon sens venait plus de la conception de la bête qui avait 50 kgs de trop.
Et le bruit du moteur, indéfinissable, mais sans dur, comme un 2 temps qui tournerait proprement sur toute sa plage.
A régime constant, le rendement de ce moteur est bon, des essais avaient été faits sur des groupes électrogènes.
Seul Mazda a voulu continuer à mettre un peu d’argent dans l’affaire, merci pour Felix

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Anonyme

le 12 septembre 2011 à 19:50

Grandeur et décadence du moteur à piston rotatif

Ah là, là, c’est jeune et ça sait pas...........tout !................mais ça a un avis tranché (tranchant....) sur tout !
Pas tout à fait exact ton article, mon cher Didier...............faut consulter les archives plus à fond, si ,si :-)))
Mamie Suzie, RE5 de son état, a été Championne de France de Rallye Routier en 2007. Elle est super vexée d’avoir été oubliée et te propose de te montrer de quoi elle est capable quand tu veux !

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Anonyme

le 10 septembre 2011 à 11:57

Grandeur et décadence du moteur à piston rotatif

Je trouve l’article un peu dur avec le Wankel... Effectivement au niveau moto, il n’a pas vraiment brillé, mais combien d’années a-t-il fallu pour rendre le moteur à pistons alternatifs réellement fiable ?
Dans l’automobile Mazda a prouvé en gagnant pas mal de compétitions (au japon) que le Wankel était une solution viable. Le problème c’est qu’ils sont les derniers à en faire, les autres constructeurs faisant pression de tout leur poids pour éradiquer ce système (cf règlement des 24h du Mans après la victoire de Mazda).

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Anonyme

le 9 septembre 2011 à 16:22

Grandeur et décadence du moteur à piston rotatif

Ok pour la décadence mais de là à dire que ce type de moteur n’a que des défauts.... je trouve que c’est exagéré.

Pour avoir essayé une mazda RX8, ce type de moteur est plutôt une franche réussite. Bien entendu, il a quelques défauts : la consommation d’essence, d’huile, le bruit.... mais il est aussi plein de qualités : plage d’utilisation très large, assez doux et souple, peu d’inertie....

Je dirais simplement que quand on voit les sommes investies ces dernières années sur les moteurs à pistons (particulièrement les moteurs diesels récents), je me dis que HEUREUSEMENT : les moteurs à pistons conventionnels consomment moins....

Bref, je pense qu’iIl y a de la marge et que c’est bien dommage que les investissements n’aient pas été plus importants sur ce type de moteurs. Car effectivement, il y a du potentiel et la fiabilité à l’air plutôt bonne aujourd’hui.

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Anonyme

le 9 septembre 2011 à 16:05

Grandeur et décadence du moteur à piston rotatif

Oui,...
M’enfin l’article date de 2007...
Et puis à quels coûts ? pour une utilisation quotidienne...
Ensuite, l’hydrogène... Moi je veux bien, mais déjà que le GPL est source de polémiques en cas d’incendie du véhicule... Va falloir créer des parking "Sévézo 2", voire "Sévézo 3" (norme hypothétique à définir et mettre en place)...

Une idée à creuser pour nos "Eunarques"...

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Anonyme

le 9 septembre 2011 à 11:33

Grandeur et décadence du moteur à piston rotatif

Après une longue évolution et même quelques succès en compétition une expérience Mazda est en cours avec un moteur rotatif, mais cette fois-ci adapté avec le carburant hydrogène.

http://www.automania.be/fr/auto/mazda-japon/mazda-historiques/document-4792.html

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