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le 4 janvier 2011 à 17:59

Kawasaki 750 H2 Mach IV

Voilà plus de 40 ans, en 1971, le plus gros des 3-cylindres 2-temps Kawasaki a semé un vent de folie par sa débauche de performances à peine canalisées. Chevaucher ce « cheval de trois », c’est se laisser tenter par bien des excès. Mais quelle ambiance !

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Anonyme

le 26 novembre 2012 à 14:06

Kawasaki 750 H2 Mach IV

Ben pour les freins c’est juste qu’à l’époque le mauvais côtoyait le pire à quelques exceptions près. On avait de bons tambours (anglais), de rares bons disques (ducati 750 gt) et le n’importe quoi. La H2 c’était surtout une inadéquation du freinage avec les performances. A allure "tranquille" ça pouvait encore aller. Par exemple ma première bécane BMW R75/5 qui attend sa restauration au fond de mon garage faisait dans le pire : Tambour avant insuffisant, manquant de progressivité et suspension trop souples : Entre 40 et 80 ça allait moyen, au dessus c’était un simple ralentisseur, en dessous ça plongeait et ça bloquait. Mon père à la même époque roulait Norton Commando et là le freinage ça allait (c’était le cadre "isolastic" qui se tordait de rire). Mon grand’père a eu comme dernière bécane une des premières guzzi V7 (fin 60’) frein avant à tambour et là en Italie on surnommait son freinage "pregare dio" (prier Dieu), ce qui veut tout dire !

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Anonyme

le 25 novembre 2012 à 19:28

Kawasaki 750 H2 Mach IV

Pour avoir tester une fois la bête : vindjou la moto la plus dur à rouler que j’ai pu essayer. Ca vibre fort dans les mains avec ces poignées à ailette au Ø énorme...
Mais quel magnifique sonorité !!

Le hic c’est que les freins sont inutiles, j’ai lu dans quelques post que certains les trouver efficace (pour l’époque) : vous avez changé des choses ???

Au final je lui préfére tout de même la 500RG gamma un peu moins suicidaire et hyper performante

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Anonyme

le 5 novembre 2011 à 18:52

Kawasaki 750 H2 Mach IV

Bonjour,

Je roule près de 1000km/mois depuis bientôt 2 ans avec ma H2 de 1972 restaurée en 2010 : un authentique plaisir redécouvert 40 ans après !

Bonne route à toutes et à tous.

Patrick BLOSSE

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Anonyme

le 14 janvier 2011 à 04:35

Kawasaki 750 H2 Mach IV

En 74 je roulais en Peugeot 103, et moi aussi les grands avec les 3 cylindres Kawa me faisais rêver.C’est sans doute là que j’ai attrapé le bon virus de la moto.
L’article est bien, c’est une petite cure de rajeunissement.

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Anonyme

le 13 janvier 2011 à 20:28

Kawasaki 750 H2 Mach IV

L’article et les photos sont sympas.Il y a toutefois quelques erreurs sur la moto et dans le texte.
Si cette merveilleuse moto vous plaît,j’ai sur mon site des photos et des films de la bête.

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Anonyme

le 13 janvier 2011 à 16:56

Kawasaki 750 H2 Mach IV

Ouais ! Avec les potes, on se défiait pour reconnaître la bécane qui arrivait, rien qu’au bruit. Vers 1980, le soir sur France-Inter, il y avait une émission de Patrice Blanc-Francard sur le rock et il y avait un jeu de reconnaissance de bruit de bécane ; les auditeurs appelaient et gagnaient je ne sais plus quoi, mais imaginer un tel jeu aujourd’hui relève de la SF.

C’était une époque rock’n’roll, avec ses dangers et ses passions. Les tirages de bourre avec les collègues faisaient partie de la vie, mais je me suis rendu compte que rouler vite en groupe était moins dangereux que de rouler seul parce qu’en groupe, tu es limité par la présence des autres. C’est peut-être pour cela que rien ne nous arrivait. 31 ans plus tard, je suis encore là pour en témoigner.

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Anonyme

le 13 janvier 2011 à 16:42

Kawasaki 750 H2 Mach IV

Vieux faucheur de marguerites, mais jeune motard ? Tu as un zingue ? C’est bizarre ; j’ai une peur bleue en avion et ne le prends que contraint et forcé, alors que je pratique la moto depuis 1980 sans aucune crainte.

Le J 79, exact, je cherchais son nom. Très fiable, mais gourmand, si je ne m’abuse. De plus, je crois qu’il a équipé aussi bien des chasseurs US que des avions de ligne, dont le sublime Boeing 707, me trompè-je ?

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Anonyme

le 13 janvier 2011 à 09:24

Kawasaki 750 H2 Mach IV

bonjour
trés bon article sur les triples,je posséde deux 500 mach3, un modéle 69 et un 71 H1A que j’utilise réguliérement et c’est vrai que ces motos donnent de vrais sensations mais à une condition UN ENTRETIEN RIGOUREUX sinon gare à la sentence.Pour ce qui est du freinage et de la tenue de route il faut se replonger 40 ans en arriére ,pour ma part j’ai 56 ans et à l’époque on faisait avec !!!!ce que je continue de faire encore aujourd’hui.
Comparer ces motos avec des motos modernes est une hérésie car avec ses 60 cv,2 tambours,une garde au sol limitée,des pneus de mob,une fourche de vélo elle offre des sensations et un bruit unique.

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Anonyme

le 12 janvier 2011 à 11:58

Kawasaki 750 H2 Mach IV

Juste pour confirmer tes dires 3 pistons,
par contre si mes souvenirs sont bons la 400 KH (modèle 1978 je l’ai vu en vente
jusqu’à l’été 1981) je m’en rappelle,
car je voulais l’acheter avant que la race
ne s’éteigne complétement. Je voyais
l’annonce chez Elite Motor je crois.
Sinon je viens de restaurer une H1 70
à tambour : quel pied, pas de problèmes
de hoquet comme le 750 H2, par contre
il faut faire gaffe, mais le frein fait
son boulot à vitesse soutenue sans
chercher la limite, c’est bien elle
l’esprit Kawa. Amen !!!

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Anonyme

le 12 janvier 2011 à 11:55

Kawasaki 750 H2 Mach IV

Que ce soit une four, une bol, un Z, XS, ou autre, elle reste tres fiable meme pour du tous les jours, sous reserve d’avoir une machine saine et pas trop bidouillée...

Avec un bon entretien c’est tout à fait viable. Maintenant il est clair qu’elle demande d’etre plus "surveillé" que les machines modernes, mais elles ne sont pas pour autant plus honereuse et moins fiable.

Je cours avec une 900 Bol de 79 et je ne fais rien dans une saison à part vidange et bougies...

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Anonyme

le 12 janvier 2011 à 10:37

Kawasaki 750 H2 Mach IV

attention a ne pas confondre l’utilisation "collection " qui en est fait de nos jours avec tout le respect du a cet ancétre ,avec l’usage "plus que racing" qui en était fait a l’époque , ou , effectivement les problémes etaient recurent et méme pire que ceux cités (j’ai couru en H2 !).........ceci etant valable pour la quasi totalité des motos anciennes d’ailleur.

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Anonyme

le 12 janvier 2011 à 10:02

Kawasaki 750 H2 Mach IV

Pas trop d’accord avec votre article :
- la 750h2 est fiable et très très simple à entretenir, la mienne roule régulièrement (40km/semaine)
- le réglage carbu (à l’oreille : 1 seul clac pour les trois boisseaux !)
- perçage pistons ? connait pas !
- claquage bougies ? connait pas !
- freine bien (le double disque était en option en 72, il ne faut surtout pas s’en priver !)
- la tenue de route est très correcte (par rapport à d’autres saucissons plus récents..!)
- la pollution ? J’utilise l’huile "bio-racing" (tournesol) de karting qui se dissipe complètement au bout de 20 jours !
ps : la fin des "tristars" c’est 1980 (400kh) et pas 1978 !

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Anonyme

le 11 janvier 2011 à 18:07

Kawasaki 750 H2 Mach IV

Salut à tous et bonne année,

Juste quelques mots, je roule régulièrement
en triple depuis 1984, il faut savoir
qu’une H2 tiens la route, qu’elle freine
correctement à condition de ne pas essorer
la poignée à fond. Elle boit suivant la conduite
(pour ma part 5.7 L au cent en pure
balade pouvant grimper à 12 L)
Entretien hyper simple à condition de
connaitre trois points essentiels.
(carburation, pompe à huile, entrefer-capteur)une fois que le bas et le haut moteur à été restaurée.
A titre indicatif une épave autour
de 6000 EUROS + 5000 supplémentaire pour une restau au top, à condition
de tout faire soi-meme sauf traitement
de surface et vilo.

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Anonyme

le 11 janvier 2011 à 12:26

Kawasaki 750 H2 Mach IV

Salut Pierrot,

Je suis toujours un faucheur de marguerites... Mais de professionnel, je suis passé à amateur... Changement de carrière il y a dix ans, pour faire de la moto !!
Pour le F 104, le moteur est le mythique J 79 a post combustion, le réacteur de référence dans ces années là.

Axel

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Anonyme

le 10 janvier 2011 à 21:37

Kawasaki 750 H2 Mach IV

En 74,je roulais en Garelli ( 49,9 ) ....quand j’y repense !!!.... et en Zundapp en 76 ( c’était mieux ! ) et les grands en 500 mach 3 et 750 h2 avec le bruit du 3 cylindre qui HUUUUURLAIT . C’était le bon temps.... Que de bon souvenir .

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Anonyme

le 10 janvier 2011 à 21:25

Kawasaki 750 H2 Mach IV

Laissez nous vivre nos passions. La vie sera toujours ainsi, elle l’a été sur des dogmes où il fallait mourir sur Constantinople puis sur des territoires. Maintenant, il faut être de bons petits citoyens qui ne veulent pas mourir ; c’est d’un ridicule...

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Anonyme

le 9 janvier 2011 à 22:38

Kawasaki 750 H2 Mach IV

le moteur de 750 GT etait tres sportif, c’est la partie cycle qui penalisait la machine...

La meilleur preuve c’est que ce moteur fut monté dans bon nombre de cadres nettement plus efficace, l’adequation 750 GT + SEELEY fut remarquable de sportivité.

Et vive les cylindre à trous, les trois-cylindres, les monos, les twins, les 6, les 4, tant qu’ils sont capables de distiler de la magie et de la passion.

L’essence meme de la moto !!!

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Anonyme

le 9 janvier 2011 à 18:28

Kawasaki 750 H2 Mach IV

- il l’etait aussi a l’époque ! les limitations de vitesse datent de 1973, mais la difference , ç’est que nous nous en moquions , les moyens de repression étaient bien plus faible que maintenant (mais pas inexistant comme le pretendent certains !, il y a eu bien des PV et des retraits de permis a partir de 1975 a peu pres suivant les régions) et l’absence de "moralisateurs" et de bien-pensant ,etait TOTALE ! au contraire de maintenant.........

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Anonyme

le 9 janvier 2011 à 18:21

Kawasaki 750 H2 Mach IV

on parlait de la stabilité de l’avion due a son architecture ,pas du fait que le ME avait un moteur fusée (qui le rendait aussi dangereux pour ses pilotes que pour ses cibles, d’ailleur le seul detenteur d’une victoire contre un mosquito s’est tué lors d’une explosion au sol) et le F104 un réacteur , avec sa "gamelle".

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Anonyme

le 9 janvier 2011 à 11:21

Kawasaki 750 H2 Mach IV

Bien sûr mais c’est plus facile de dire de facto "c’est inabordable". Non, ces machines ne sont pas réservées à une élite richissime. Maintenant, toute passion a un coût (notamment ici en temps pour trouver des pièces, des professionnels qui proposent des pièces d’occasion ou refaites à l’identique etc.).

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