La protection de la tête de fourche de la Honda 125 Varadero est tout à fait rare en 125, ensuite son équipement complet et fontionnel se montre digne d’une machine de catégorie supérieure.
- Elle se distingue également par un confort de selle et de suspensions au-dessus de la moyenne.

Très à l’aise en ville où son poids est compensé par sa maniabilité et sa hauteur de selle raisonnable, elle est accessible au plus grand nombre. Rien à reprocher non plus en termes de freinage, même si le disque avant manque un poil de mordant.

C’est finalement la motorisation qui tempère l’enthousiasme. Le twin délivre sa puissance maxi à 11 000 tr/mn et son couple de 1,9 mkg seulement 2 000 tr/mn plus bas.
- C’est-à-dire que l’agrément de ce moteur linéaire et extrêmement creux à bas régime est limité.
- Pourtant, le vaillant propulseur de la Honda 125 Varadero grimpe jusqu’à la zone rouge sur le dernier rapport sans faiblir.
- Mais il faut emmener le poids élevé de la machine, et la seule façon consiste à le faire turbiner au-dessus de 9 000 tr/mn.
Que dire alors si un passager veut profiter de la généreuse place qui lui est réservée ?

En dépit de ses régimes de rotation élevés, la Honda 125 Varadero reste sobre et son réseervoir de 17,5 litres lui autorise une autonomie impressionnate, que nombre de grosses cylindrées peuvent lui envier.
- Elle n’a comme rivale sérieuse sur le marché que la Yamaha 125 TDR, plus performante mais plus polluante en raison de son monocylindre 2-temps.

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