Le bilan est plus satisfaisant quant à l’étanchéité. Aucun des vêtements testés n’a pris l’eau. Par contre, des écarts significatifs sont perceptibles en termes de déperlance. Cette capacité évite au textile, par le biais d’un traitement chimique, de se gorger d’eau en laissant les gouttes glisser à leur surface. En jeu, un refroidissement moins rapide. Sans surprise, les vêtements haut de gamme (BMW, Dainese...) se tirent le mieux de cette épreuve.

Au-delà de l’hiver, il est appréciable de pouvoir compter sur la polyvalence plus ou moins affirmée de ces vêtements. À commencer par la possibilité – systématique – de retirer la sous-veste thermique pour supporter l’élévation du mercure. Les modèles les plus perfectionnés (3 en 1) permettent de déposer également la membrane étanche/coupe-vent pour favoriser la ventilation. Attention, car plusieurs vestes (IXS, Bering...) voient leurs aérateurs obstrués par la membrane non démontable. À éviter !

Au final, trois modèles s’imposent dans ce comparatif dont les résultats complets sont à découvrir dans le numéro 274 de Moto Magazine, actuellement en kiosque.