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Test anti-radars : utiles, pas qu’aux motards ! Test anti-radars : les smartphones Test anti-radars : les GPS équipés Test anti-radars : les avertisseurs autonomes

Deux types d’appareils sont à différencier. Les « classiques » fonctionnant à partir d’une base de données plus ou moins mise à jour via un ordinateur. Et les communautaires, dont la mise à jour et l’enrichissement reposent sur la réactivité et la fiabilité des membres. Les alertes se font en temps réel, via des signalements transmis par d’autres conducteurs.

Nous avons comparé quatre avertisseurs (Coyote mini, Wikango Max, Snooper Sapphire et Inforad M-1) et 3 solutions pour smartphone (Alertez-moi, ISpeedCam et Radars). Nous avons ajouté 2 navigateurs GPS utilisant l’alerte radar communautaire (TomTom GO 1000 et Coyote Nav V2). Autant de solutions pas pour autant miracle.

Tous les modèles prennent aisément en main. S’agissant du repérage des radars fixes, l’ensemble des systèmes donne satisfaction, mais quelques failles apparaissent : applications qui oublient d’en signaler certains ou encore démission dans les longs tunnels ; la prudence est donc de mise dans l’attente d’une amélioration de la vitesse de reconnexion ou le signalement par anticipation des emplacements de contrôle.

Côté « contrôles mobiles », ce sont les appareils communautaires qui s’en sortent le mieux. Contrairement aux systèmes classiques qui sonnent en permanence, ils ne préviennent en théorie que si le contrôle est avéré. Leur efficacité repose donc sur le signalement du radar par un autre conducteur. Une procédure qui n’est pas infaillible comme l’ont montré nos tests routiers.

Retrouvez tous les résultats de ce comparatif dans le n°275 de Moto magazine, actuellement en kiosque.

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