Loppsi prévoit même la cession à l’État et la revente par celui-ci du véhicule « coupable » en cas de très grand excès de vitesse. Un arsenal économico-répressif des plus contraignants. En juillet 2009, la FFMC appelait les motocyclistes à se mobiliser contre Loppsi en écrivant aux députés afin de souligner le caractère abusif d’une telle mesure. La lettre-type est toujours disponible sur le site de la FFMC…

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