À l’instar de la Continental GT, de l’Interceptor et de la Bullet, Royal Enfield continue de capitaliser sur son riche héritage et remet sur le devant de la scène un autre nom mythique de sa production, celui de « Meteor ». Et si la première Meteor, celle des 50’s, était un twin de 700 cm3, sa réinterprétation moderne, la Meteor 350, s’appuierait sur un mono.

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Royal Enfield 700 Super Meteor -1958

Cette nouvelle Meteor pourrait accueillir, dans son cadre double berceau, un monocylindre à air proche de celui de la dernière Thunderbird X350 (attendue en novembre en Inde). Ce bloc de 19,8 ch (5250 tr/min) aurait l’avantage de répondre aux exigences de la norme BS-6 (Bharat Stage 6), soit la 6e génération des normes antipollution indiennes. Une réglementation qui s’apparente à notre Euro 5, ce qui serait synonyme - on l’espère - d’une potentielle commercialisation chez nous. Seconde hypothèse : confier la motorisation de cette nouvelle Meteor à une extrapolation du mono de l’Himalayan.

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Royal Enfield Thunderbird X350 - 2018

D’autres rumeurs circulent sur les spécifications techniques de cette nouvelle machine - éligible aux permis A2 -, comme la présence d’un réservoir de 20 litres offrant 600 km d’autonomie, d’une boite 6 vitesses (?), d’un ABS à deux canaux et d’un compteur numérique. Le reste de la partie cycle pourrait être similaire à celui de la Thunderbird : fourche télescopique de 41 mm de diamètre et amortisseurs stéréo réglables en 5 positions à l’arrière.

Affaire à suivre.

Source : zigwheels.com / Crédit photos : Royal Enfield

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