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Bien entendu, dans le cas où le plan « A » échouerait, il existe toujours la possibilité du plan « B » qui consisterait à vendre la marque purement et simplement. « Mais pour l’instant, ce n’est pas l’option privilégiée », continue Pierre-Laurent Chauvet.

Reste que les audits et les analyses financières menées de part et d’autre ont fait perdre deux semaines à l’ensemble du plan. Mais « quand on songe que l’on a commencé nos premiers contacts fin septembre 2006 et que nous sommes prêts à signer un accord en avril 2007, on peut dire que tout a été mené à tambour battant le tout en six mois », se félicite encore notre homme.

Confiance dans l’avenir

Et pour mieux convaincre Pierre-Laurent Chauvet énumère les points positifs. « Nous avons signé un accord le 16 mars avec un nouvel importateur en Allemagne (Leuthe Vehicles) et en Italie (Motorcycles Trading SRL Imperia). Notre réseau de concessionnaires ne cesse de s’étoffer puisque en France nous avons environ 60 demandes et une douzaine en Suisse. »

Enfin, « nous avons lancé l’outil "Voxan pro" qui permettra aux concessionnaires d’être en phase avec le carnet de commande de l’usine, de commander les pièces détachées etc... Le CD de mise à jour est parti cette semaine chez nos revendeurs et nos concessionnaires. »

La répartition du capital de la SCCM (Société de conception et de construction de motocycles) devait se partager entre ce fameux « groupe européen et des industriels chinois ». Mais la nouveauté, c’est que la Sidam prendrait au moins « 4 à 5% des parts du capital », preuve que PLC est confiant en l’avenir. Il porte enfin l’estocade finale : « Vous croyez que je mettrais en péril l’entreprise que j’ai créée avec ma fille si je n’étais pas convaincu du retour de Voxan ? »

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