Les associations favorables au « non » aux 80 km/h vont continuer à défendre leur position au sein du Conseil national de sécurité routière (CNSR), cette instance consultative, que d’aucuns considèrent déjà, en off, comme une chambre d’enregistrement d’une politique définie à l’avance par quelques personnes en haut lieu.

Le 16 mai, date de sa prochaine assemblée, un vote permettra de savoir si le Conseil préconise, ou non, cette mesure au ministre de l’Intérieur.

Ensuite, ce sera au successeur de Manuel Valls à l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, de décider s’il poursuit dans l’impopularité, quitte à voir les conducteurs descendre à nouveau dans la rue, ou s’il apaise la situation en remisant cette proposition à plus tard, et en replaçant la sécurité routière dans l’axe de la formation des conducteurs. Rêvons un peu…

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