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« Nous, on utilise des vannes Zénith, plus classiques », confie Taco. « Même si les problèmes d’émulsion sont plus fréquents qu’avec la Stobli, ses deux orifices offrent un temps de remplissage quasiment identique, pour un coût bien inférieur (environ 2500 euros). Au sein du team MotoVirus, on a préféré investir sur d’autres points de la moto, comme sa sensibilité à l’éthanol par exemple . »

En effet, outre un indice d’octane supérieur, le règlement impose depuis l’édition 2008 un taux de 10% de bio-éthanol dans le carburant contenu dans les cuves du circuit.
Cette vertu a priori écologique pose pourtant de sérieux problèmes mécaniques, l’éthanol étant des plus corrosifs pour les durits et autres joints moteur.
En plus de ce surcoût de préparation, les teams se voient imposer un carburant unique (Shell) dont le prix de vente au litre est doublé par rapport a celui pratiqué à la pompe.

Quand on sait qu’une machine effectue au minimum une bonne trentaine d’arrêts aux stands pendant les 24 heures de course, on imagine l’importance du poste carburant dans le budget déjà serré d’un team privé.

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