Le rock, c’est bien, le blues, c’est bien, mais la moto, c’est mal ! C’est en l’occurrence le message porté par la mairie écologiste du 12ème arrondissement de Paris : dans la lignée de la Maire de Poitiers, Leonore Moncond’huy, qui avait, tristement déclaré que "l’avion devait disparaître des rêves d’enfants" au moment de ne pas reconduire une subvention municipale à l’aéro-club local, la maire du 12ème arrondissement parisien, Emmanuelle Pierre-Marie, bloque sur le fait qu’une statue rendant hommage à Johnny Hallyday puisse intégrer une Harley-Davidson, machine qui a pourtant entièrement fait partie de la vie et de l’univers du chanteur français.


Lavage de cerveau

Ce sont nos confrères du Point qui rapportent les propos de l’édile parisien : "Au moment où nous voulons créer une ville durable, apaisée, le projet met surtout en scène une Harley-Davidson, qui symbolise tout autre chose", aurait-elle déclarée, tout comme craindre des "hommages pétaradants" sur la future esplanade Johnny Hallyday.

Johnny a roulé en Harley, en Indian, en Ferrari, mais les écolos préféreraient lui rendre hommage avec un vélo, sans doute. Là encore, c’est l’apanage des mouvements dictatoriaux d’être tentés de réécrire l’histoire.

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