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Route privée d’Herqueville Du niveau de la mer…

Sur ce type de course, les machines sont beaucoup moins affûtées que sur circuit. Pour preuve, ce sont les pilotes qui sont à l’origine des performances. En 50 cm3 les 1,7 Km de la montée sont avalées en 1’09’’ contre moins de 52 secondes pour les 1300 cm3.

On le voit, Le maximum de concentration est nécessaire sur un temps très court. De plus l’originalité de cette course de côte est que la parc coureur est situé en haut de la montée et que le seul accès au départ, est de descendre en groupe regroupant 2 ou 3 catégories. Résultat, de nombreux pilotes prennent le départ avec des pneus froids !

Championnat de la Montagne, au bord de la mer

L’organisation d’une telle épreuve n’est pas non plus des plus faciles, à cause du dénivelé. Lors des premières courses, la communication se faisait par drapeaux d’où une perte de temps considérable. Depuis des radios ont fait leur apparition et c’est tant mieux.

Enfin, même si le SLMC existe depuis 1988, cette course atypique n’a pas eu lieu l’an dernier. « On souhaitait souffler un peu » confie un membre du club. En effet pour driver les 130 concurrents , il faut pas moins de 60 bénévoles (25 officiels et 35 commissaires) sur un effectif de 40 personnes.

Emmanuel Lemonnier correspondant 50

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