Balades en France

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Tracé de l’étape Glycine Ville de Corte Port de Cargèse Gorges de Spelunca

- Et notamment de cet « arbre à pain » qui a fini par donner son nom à la Castagniccia. les chapelles du Bozio succèdent alors aux églises baroques, annonçant l’arrivée sur Corte par la D 39. Au pied d’un piton rocheux dominé par une citadelle, la vieille ville ainsi que les toutes proches et néanmoins sauvages gorges de la Restonica sont à découvrir absolument.

- Poursuivant son périple vers le nord-ouest, via la Scala di Santa-Regina, le voyageur découvre peu à peu un paysage de haute montagne avec pour toile de fond le monte Cinto, point culminant de la Corse à 2 706 mètres d’altitude.
- Pas étonnant que le col de Vergio soit si souvent enneigé, et qu’on y trouve même une station de ski. Ce dernier site contraste avec la très méditerranéenne forêt d’Aitone, aux immenses pins laricio encore et toujours plantés par les Génois pour leurs chantiers navals. Leur ombre recouvre des piscines naturelles creusées dans la roche, où il est bien agréable de se rafraîchir l’été.
- À moins de préférer un vrai bain de mer, auquel cas il convient d’atteindre le superbe golfe de Porto, en longeant les profondes gorges de la Spelunca par la D 84.
- À quelques encablures de là, sur la D 81, les calanques de Piana constituent le point d’orgue de ce voyage et sont à découvrir de préférence en fin d’après-midi, lorsque le couchant transforme la teinte rougeoyante des falaises en un vrai feu d’artifice.
- Le lendemain, il ne vous restera plus qu’à longer le golfe de Sagone en direction d’Ajaccio. Cité où sous le soleil qui chante en chœur avec Tino Rossi (Marinellaaa...), vous tuerez les quelques heures qui vous séparent de l’embarquement en visitant les monuments dédiés à l’un des plus turbulents insulaires de l’Histoire : un certain Napoléon Bonaparte.
- Si près des îles Sangui­naires, cela ne s’invente pas...

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