En vidéo

Chargement du lecteur...

Ronde des sides à Lurcy Levis : impressionnant !

Du side F1 au side rétro, l’association « La main au panier » accueille chaque année tout ce qui roule sur trois roues sur le circuit de Lurcy-Levis. Embarquez avec Jean-Louis Hergott, champion de France 2009 F2 (châssis court et moteur de 600 cm3) pour un tour de piste. Accrochez-vous, ça va secouer…

Champions...
Les pilotes et passagers présents à Lurcy-Levis viennent de tous horizons. Il y a les champions de France en titre, Ducouret et Hernan en F1 (châssis long, 1000 cm3), Jean-Louis Hergott en F2 (châssis court, 600cm3), et surtout l’équipage Delannoy/Cluze, quatrième du championnat du monde F1 en 2008. Venant d’une autre discipline, la course de côte, Bernard Piroutet et sa fille Aline sont également présents. Bernard est peut-être la figure la plus emblématique du side-car en France : il a fait sa première course en 1980 et a été sacré 13 fois champion de France de montagne !

Plus amateurs...
À coté de ces champions, on trouve aussi des amateurs qui aiment tourner pour le plaisir, comme Monique et Laurent sur leur side à base de BMW 90 S, ceux du team Guzzard, ou encore Florence, pour qui cette manifestation est l’une des rares occasions de faire rougir son vieux Ducati 750. N’oublions pas Estelle qui, à 18 ans, est la plus jeune pilote engagée en championnat de France F2, ni Rosa et Leandro, deux Espagnols ayant acheté un LCR F1 pour le fun... Enfin tous ceux et celles qui font revivre ces vieilles mécaniques (Norton, Guzzi, BMW, Yamaha 2T…) l’espace d’un week-end (et parfois après de longues heures de travail dans un atelier).

Égale que du bonheur !
Pendant ce temps, les équipages des sides de rallye, pas vraiment conçus pour le circuit, luttent pour suivre la cadence des sides d’époque. Ces derniers sont un spectacle à eux seuls : ça fait du bruit, ça glisse, ça contre-braque et ça bastonne à tous les coins du circuit ! Le pilote d’un vieux BMW ne cesse de rattraper les dérives pendant que son passager cherche à s’allonger de plus en plus à l’opposé, quitte à râper toute sa combine, pour empêcher le panier de lever… Et derrière son viseur, le photographe n’y voit que du bonheur !

Publicité

Commentaires (4)