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9 pots adaptables en test. 9 sons a ecouter.

9 silencieux à l’essai à écouter dans notre vidéo : un adaptable est souvent choisi pour le look. Nous avons testé sa facilité de montage, mesuré le bruit et la puissance, jugé la sonorité et testé la qualité de réalisation. De quoi choisir en toute connaissance de cause.

En images

Pots adaptables : son Pots adaptables : oxydation Pots adaptables : banc 9 pots adaptables homologués

Sur le plan sonore, six des neufs silencieux adaptables retenus ici, s’avèrent très proches des 90 dB du pot d’origine. Pour les trois autres, les dépassement sont de l‘ordre de 1 à 3,5 décibels mais restent en dessous du maxi légal de 94 dB. Pas de quoi émouvoir un gendarme.

Autre a priori invitant au remplacement : la performance. Nouvelle illusion.
Notre banc Fuchs est catégorique : aucun écart notable n’a été relevé . Seul deux petits « bourrins » sont arrachés sur le meilleur, l’Akrapovic.
Alors comment départager nos neuf concurrents en liste ? En leur faisant subir un test de résistance à la corrosion (bien utile quand on sait qu’une dégradation conséquente entraîne une augmentation du niveau de décibels).
Ce sont donc le Leo Vince et l’Akrapovic qui se sortent le mieux de l’épreuve.

Enfin, notre comparatif n’aurait pas été complet sans un regard sur l’environnement. Sur ce plan, les résultats sont édifiant.
Les mesure du taux de rejet de CO et CO2 révèle des écarts de 1 à 10 par rapport au pot d’origine catalysé. Ce qui n’étonne en rien Karl Bruhl, responsable formation technique chez Kawasaki France : « Changer un silencieux équipé d’un pain de catalyse équivaut à ce que la moto ne réponde plus à la norme Euro 3. »

Le choix de mettre un adaptable est finalement moins anodin qu’on pourrait le croire… Vroom, vroom !

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