La référence moto est clairement affichée. En atteste le nouvel ensemble compteurs qui rappelle ceui des dernières Moto Guzzi et le guidon qui abandonne son habillage de plastique pour révéler son tube chromé.

Le Beverly nouvelle génération ne faillit pas à sa réputation de confort. Selle hyper accueillante, espace dégagé pour les jambes et protection correcte, le Cruiser se fait apprécier tout de suite. Ses 209 kg n’occasionnent pas de gêne majeure.
Tout juste pourrait-on lui reprocher une direction un peu lourde en évolution lente.

Au feu vert, l’accélération est foudroyante. Manifestement, le nouveau 500 à double allumage qui succède au mono 460 cm3 a du répondant.
Vif, souple et coupleux, ce moteur de 40 ch dévoile tout son potentiel sur route.
Le Cruiser accélère comme une balle jusqu’à 130 km/h et grimpe allègrement jusqu’à 175 compteur à la moindre déclivité, sans pour autant se tasser dans les montées.
Autant dire que de longs trajets ne l’effraient pas, freins et partie-cycle se montrant à la hauteur, même si celle-ci souffre d’un léger louvoiement en courbe.

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