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Dakar 2008 : Test sur terrain privé L’aide d’un vétéran Terrain peu adapté Des ajustements nécessaires

Pour Franck ce sera le premier Dakar avec une assistance, car lors des deux années précédentes, il devait se débrouiller seul, résultat une casse mécanique pour la 1ère année et un accident pour la 2e . Seul, un petit problème sur la moto peut vite dégénérer et se terminer par une réparation qui s’éternise dans la nuit après une journée de roulage. On imagine l’état du pilote après ce genre de galère.
- C’est une des raisons qui ont poussé Franck à ne pas partir seul cette année. L’autre raison est humaine, « Pour moi le Dakar va au delà de la course, c’est le plaisir de se retrouver au bivouac et de parler de la journée, du pilotage, c’est un esprit de copains, une histoire d’entraide, d’amitié et avec le Team 100% sud ouest, je serais bien épaulé. »

Les amis sont là))
- Pour lui donner un coup de main sur sa préparation, Franck a la chance d’être aidé par Jean Castera, ce jeune retraité de 58 ans a laissé son garage Yamaha d’Orthez pour profiter pleinement de la moto. Et c’est en voisin et ami qu’il est venu donner un coup de main. « Le Dakar je le connais bien, et cette expérience, c’est avec plaisir que je là partage, on va se faire 300km sur les routes basques pour l’endurcir et le préparer. »En effet, Jean Castera connaît bien le Dakar, il en a 9 à son actif comme mécano officiel pour BMW.

C’est sur le coup de midi qu’ils partent, Jean sur son 750 Super Ténéré et Franck sur une 450, ils passeront le samedi après midi à rouler.
Au retour Franck explique, « On a fait que 350 km en 7h , mais tout en virages, on a passé quelques cols avec la neige, j’ai dit à Jean que je lui payais un café avec un morceau de gâteau basque, notre seule pose en 7 heures de roulage. »

A Lisbonne le 5 janvier 2008 il faudra surveiller de près le N°64, simplement pour le plaisir d’une aventure humaine.

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