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Cartes routières Bien vu ! Mal vu !

La vitesse de déplacement d’une moto ne convient pas à de telles échelles, le changement de pli intervient trop souvent.

Thèmes
Il existe aussi des cartes thématiques intéressantes : routes historiques, gastronomiques, pittoresques... En revanche, fuyez les cartes des radars qui ne peuvent suivre leur rythme d’implantation. Une liste récupérée sur Internet constitue un bien meilleur rempart.

Encombrement
Le gain de place reste un souci à moto. Deux choix sont possibles.
La carte de poche se loge dans n’importe quel recoin mais nécessite de bons yeux. La recto/verso avec par exemple le nord de la France d’un côté et le sud de l’autre se montre intéressante sous réserve que l’économie de place ne se fasse pas au détriment d’informations telles l’index des villages. Et puisqu’il est question de place, vérifiez - si vous envisagez l’achat d’une sacoche réservoir - que le porte-cartes soit suffisamment large pour contenir deux plis, soit 23 cm (voir MM n° 218).

Pérénité
Les cartes routières subissant de rudes de traitements (vent, pluie, pliage lors des manipulations) les fabricants éditent des versions « indéchirables » pour 2 à 3 euros de plus. Avantages : une bonne résistance à l’eau, aux séances d’origami et aux salissures. Quasi indispensable en deux-roues.
L’évolution perpétuelle des réseaux routiers rend les cartes obsolètes.
Les éditeurs font donc souvent une mise à jour annuelle, voire semestrielle. Si la carte n’indique pas de millésime, un coup d’œil à son dos permet d’en connaître la date de mise à jour ou d’édition.

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